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“Face aux médias” : le rendez-vous du club de la presse avec les candidats aux municipales

Cette semaine, j’ai répondu à l’invitation du Club de la presse de Strasbourg dans le cadre du cycle « Face aux médias ». Pendant près d’une heure, j’ai échangé sans détour avec les journalistes locaux sur la campagne des municipales de 2026, ma méthode et la dynamique qui s’installe à Strasbourg.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes. En deux mois, les derniers sondages nous donnent une progression de plus de 4% d’intentions de vote. Une progression qui reflète le dynamisme de notre campagne et notre volonté de vous convaincre. Mais cette progression rapide montre une chose essentielle : une alternative crédible est en train d’émerger. Elle est portée par des Strasbourgeoises et des Strasbourgeois qui ne se reconnaissent ni dans le bilan de la majorité actuelle, ni dans les extrêmes.

Cette dynamique est le résultat d’un travail de fond, mené depuis plus d’un an sur le terrain. Avec Parlons de Strasbourg, avec le Vélo’vote, avec des centaines de rencontres dans les quartiers, nous avons écouté, confronté, affiné. Mon projet se construit à partir du réel, pas depuis un bureau.

Cette élection ne se gagnera pas sur une coalition de rejet, mais sur une coalition de projet. Ce sont les idées, la vision et la crédibilité qui doivent primer.

Je l’assume pleinement : mon adversaire principal est la maire sortante, et je combats aussi les logiques de rupture portées par les extrêmes, à gauche comme à droite. Strasbourg mérite mieux que des postures idéologiques et des promesses irréalistes. Elle mérite une ville apaisée, efficace, équilibrée.

Je continuerai à mener ce combat avec exigence, détermination et sincérité, pour offrir aux Strasbourgeoises et aux Strasbourgeois une alternative sérieuse, crédible et rassembleuse en 2026.

🎥 Vous pouvez visionner ici cet entretien 🎥

🗞️ Vous pouvez lire ici l’article des DNA 🗞️

Vote du budget 2026 au Conseil municipal : Strasbourg peut et doit rebondir

Le Budget 2026 est le dernier budget du mandat de la maire sortante. Il en dit long sur ces six années : absence de vision, improvisation permanente et résultats insuffisants. Malgré des moyens financiers importants, Strasbourg s’est affaiblie. La dette a fortement augmenté, les services publics se sont dégradés et la confiance entre la Ville et ses habitants s’est érodée.

Les promesses initiales — écologiques, sociales et démocratiques — n’ont pas été tenues. Sur le plan écologique, les annonces ont souvent remplacé l’action, au détriment de projets réellement structurants. Sur le plan social, Strasbourg affiche aujourd’hui un niveau de pauvreté parmi les plus élevés des grandes villes, sans réponse à la hauteur des enjeux. Sur le plan démocratique, la parole des habitants a été trop souvent ignorée, les instances de proximité affaiblies.

Cette gestion a eu des conséquences très concrètes dans le quotidien : une ville moins propre, moins fluide, moins sûre, des commerces en difficulté, une vie culturelle en recul et des quartiers qui se sentent délaissés. Dépenser plus pour obtenir moins ne peut pas être un projet pour Strasbourg.

Pour autant, rien n’est irréversible. Strasbourg n’est pas condamnée au déclin. Elle a des atouts immenses, des talents, une histoire, un rang européen à assumer pleinement. À condition de changer de méthode, de remettre de la clarté dans l’action publique et du respect dans la relation avec les habitants.

Les Strasbourgeoises et les Strasbourgeois n’attendent pas une révolution idéologique. Ils attendent une ville qui fonctionne, des services publics accessibles, des élus présents sur le terrain et une gestion responsable de l’argent public. Un maire de proximité, capable de régler les problèmes du quotidien, mais aussi d’anticiper les transformations nécessaires pour préparer l’avenir.

C’est cette ambition que je porte : faire passer Strasbourg du mandat du déclin au mandat du rebond. Une ville apaisée, efficace et équilibrée. Une ville qui protège, qui rassemble et qui retrouve fierté, vitalité et confiance en elle-même.

Retrouvez ci-dessous mon intervention au Conseil municipal :

Accès aux soins à Strasbourg : le rapport du C4S confirme nos alertes

Le Comité Science Santé Société (C4S) de Strasbourg vient de publier un rapport sans équivoque : les politiques de stationnement et de mobilités menées par la municipalité écologiste ont un impact réel et négatif sur l’accès aux soins dans l’Eurométropole.

Ce rapport fait suite à ma saisine de cette instance en mai 2023 en raison de la réforme du stationnement payant et ses conséquences à Strasbourg.

Ce document confirme les alertes que nous portons depuis plusieurs années. À force de décisions idéologiques et mal anticipées, ce sont aujourd’hui les patients et les soignants qui en subissent directement les conséquences.

Le rapport met en évidence des difficultés majeures de circulation et de stationnement pour les professionnels de santé, notamment autour de certaines cliniques du centre-ville. Les véhicules d’urgence rencontrent également des obstacles croissants, en particulier vers les nouveaux quartiers à l’Est, du fait des modifications de circulation et d’un manque d’information sur les travaux.

Les patients sont eux aussi pénalisés. Le coût du stationnement dissuade certains de se soigner correctement, en particulier les personnes atteintes de pathologies chroniques ou en situation de précarité. Les difficultés d’accès conduisent également à un recours accru à la téléconsultation, parfois au détriment de la qualité de la prise en charge.

Au-delà de l’accès aux soins, c’est l’offre elle-même qui est menacée. Le rapport souligne des difficultés de recrutement, des surcoûts importants pour les établissements de santé et une tentation croissante, chez certains praticiens, de quitter le centre-ville, voire l’Eurométropole, alors même que Strasbourg compte déjà plusieurs secteurs en tension médicale.

Le C4S formule des recommandations claires : stationnement réservé et harmonisé pour les soignants, davantage de places dédiées dans les établissements de santé, voies réservées aux véhicules d’urgence et solutions adaptées pour les patients nécessitant des soins réguliers.

Ce rapport doit marquer un tournant. L’accès aux soins ne peut être sacrifié sur l’autel de choix de mobilité dogmatiques. Il est urgent de revoir ces politiques avec pragmatisme, dans l’intérêt des patients et de ceux qui les soignent.

Retrouvez ci-dessous la résolution que j’ai présenté au Conseil municipal du 8 décembre pour pour remédier à cette situation :

Se déplacer librement et sereinement à Strasbourg : mes propositions pour lutter contre l’assignation à résidence

Aujourd’hui, se déplacer à Strasbourg ressemble parfois à une épreuve : piétons bousculés, cyclistes stressés, automobilistes frustrés. Au croisement d’une rue piétonne envahie par les vélos et d’un quai bondé, chacun se sent en insécurité. Pourtant, Strasbourg a longtemps été pionnière des mobilités douces. Mais les travaux mal coordonnés, les espaces partagés flous et le manque de clarté ont fait reculer notre ville – de la 5ᵉ à la 13ᵉ place des villes cyclables.

Les Strasbourgeois l’ont dit clairement : dans les 12 000 contributions recueillies, la sécurité arrive en tête. Attendre un tram tard le soir dans un quartier mal éclairé, ou se sentir menacé à vélo ou à pied, pousse beaucoup à rester chez eux… ou à reprendre la voiture.

Pour y remédier, il faut remettre de l’ordre et de la sérénité : des espaces dédiés, clairs et sécurisés pour chacun, une meilleure coordination des travaux, et un éclairage renforcé. Mais aussi sensibiliser, former et sanctionner quand nécessaire, pour que chacun prenne conscience de la vulnérabilité de l’autre.

L’enjeu n’est pas d’opposer les usagers, mais de leur offrir une ville où se déplacer rime avec tranquillité. Strasbourg peut redevenir un modèle, à condition d’agir.

C’est pourquoi je fais des propositions concrètes que j’ai présenté à la presse, vous pouvez lire l’article en cliquant ici.

Signer la pétition

Votre journal “Strasbourg à nouveau” est disponible en ligne !

Je suis heureux de vous proposer la version en ligne de notre journal “Strasbourg à nouveau” ! un journal que j’ai voulu clair, utile et sans détour. J’y explique pourquoi je m’engage, ce que je vois chaque jour sur le terrain, et surtout ce que nous pouvons changer ensemble. Mon objectif est simple : remettre Strasbourg en mouvement, redonner de la fierté, et répondre concrètement aux attentes que vous exprimez depuis des mois.

À travers ce journal, vous découvrirez les raisons pour lesquelles notre ville doit retrouver de l’ambition, mais aussi la méthode que je porte : une politique qui part du terrain, qui écoute avant de décider, et qui rassemble plutôt qu’elle ne divise. Je veux que chacun puisse vivre Strasbourg sereinement, avec des services publics qui fonctionnent, une ville propre et sûre, et une gestion qui respecte votre quotidien autant que votre pouvoir d’achat.

En le partageant aujourd’hui, je vous invite à vous informer, à débattre, à questionner, et, si vous le souhaitez, à rejoindre cette dynamique qui grandit chaque jour. Ensemble, faisons de Strasbourg une ville dont nous pouvons être fiers, à nouveau.

🗞️👇 Vous pouvez aussi télécharger le journal en PDF ci-dessous 👇🗞️

En plein Tour de Strasbourg, le Vélo’vote est aussi dans les médias !

En plein Tour de Strasbourg, le Vélo’Vote ne se contente pas de parcourir les rues : il fait aussi son chemin dans les médias, curieux de vous raconter ses propositions et de se présenter à toutes les Strasbourgeoises et tous les Strasbourgeois.

Si vous ne l’avez pas encore aperçu en bas de chez vous, soyez assuré que son passage est imminent — le Vélo’Vote sillonne chaque jour de nouveaux quartiers pour venir à votre rencontre.

En attendant de le croiser sur votre chemin, nous vous invitons à découvrir ci-dessous une sélection des principaux articles de presse qui lui ont été consacrés. Une façon de mieux comprendre cette initiative mobile et conviviale, qui place le dialogue, la proximité et le vote au cœur de nos préoccupations !

Dans le dessin du dimanche des DNA de Yannick Lefrançois

Dans le Journal Télévisé ICI 12/13 Alsace

Dans les Dernières Nouvelles d’Alsace

Velo’vote : votez pour les bonnes idées pour Strasbourg !

Votez en cliquant ici !

Notre projet pour que Strasbourg change vraiment en mars 2026 nous voulons l’écrire avec vous, en bas de chez vous ! 

Vous avez été plus de 12.000 à nous partager vos contributions. Elles ont permis d’imaginer de premières solutions à vos difficultés et problèmes du quotidien. À vous de nous dire si elles peuvent répondre concrètement à vos attentes ! 

C’est pour cela que nous lançons une opération inédite – LE VÉLO VOTE : le premier bureau de vote mobile qui va venir à votre rencontre, dans tous les quartiers de Strasbourg. Nous voulons permettre à chacune et chacun de vous de voter, de se prononcer et de faire entendre sa voix. 

Vous pouvez voter en cliquant ici ou en nous rejoignant sur une étape de notre « Tour de Strasbourg » en consultant l’agenda ci-dessous. 

Voici les premières propositions sur lesquelles vous pouvez voter :

Nous avons hâte de vous retrouver autour du Vélo’vote et d’un bon café, de recueillir vos avis, d’échanger et d’imaginer ensemble le Strasbourg de demain ! 

Les prochaines étapes du Vélo’vote :

– Vendredi 12 décembre à 17h30 devant le Auchan Koenigshoffen
– Samedi 13 décembre à 9h30 au marché du Neudorf

Les précédentes étapes du Tour de Strasbourg du Vélo’vote :

– Samedi 8 novembre à 9h30 au marché de Hautepierre
– Mercredi 12 novembre à 9h au marché de la Krutenau
– Mercredi 12 novembre à 17h30 devant le Auchan de l’Esplanade
– Jeudi 13 novembre à 17h sur la Parvis de Rivetoile (place Dauphine)
– Vendredi 14 novembre à 16h au Parc des Poteries
– Samedi 15 novembre à 9h au marché de la Robertsau
– Dimanche 16 novembre à 14h au parc des Contades
– Lundi 17 novembre à 16h place Sainte-Aurélie
– Lundi 17 novembre à 18h à Neuhof Reuss
– Samedi 22 novembre à 9h au marché du neudorf
– Mercredi 26 novembre à 11h place des Halles
– Jeudi 27 novembre à 9h au marché de la Meinau
– Jeudi 27 novembre à 15h30 à Koenigshoffen
– Jeudi 27 novembre à 17h30 au Port-du-Rhin
– Vendredi 28 novembre à 17h30 au Tram Rotonde
– Samedi 29 novembre à 9h30 au marché de la Marne
– Mercredi 3 décembre à 9h30 au marché Broglie
– Mercredi 3 décembre à 15h30 au marché de la Cité de l’Ill
– Jeudi 4 décembre à 17h30 à l’arrêt de Tram Emile Mathis
– Vendredi 5 décembre à 9h30 au marché de Cronenbourg
– Samedi 6 décembre à 9h30 au marché de la place de Bordeaux
– Mercredi 10 décembre à 9h au marché de l’Elsau
– Mercredi 10 décembre à 17h devant la médiathèque Malraux
– Jeudi 11 décembre à 17h30 devant le supermarché Match de la Robertsau


20 ans après son dernier passage, le Tour de France doit retrouver la route de Strasbourg

Le parcours du Tour de France 2026 a été dévoilé ce 23 octobre. Une fois de plus, la course cycliste la plus célèbre au monde passera par l’Alsace, mais ne fera pas étape à Strasbourg.

La dernière fois que la Grande Boucle est passée par notre ville, c’était en 2006, il y a 20 ans ! Strasbourg avait accueilli le prologue et la première étape de cette course mythique dans une ferveur dont nous gardons tous le souvenir. 20 ans d’absence pour l’un des événements les plus emblématiques du sport mondial, suivi par des centaines de millions de spectateurs à travers le monde, c’est une perte de chance pour le rayonnement de Strasbourg, qui était capitale du vélo en France jusqu’il y a peu.  

Le Tour de France, ce n’est pas seulement une compétition sportive : c’est une vitrine exceptionnelle pour les territoires qu’il traverse. Chaque passage est une opportunité de montrer une ville vivante, accueillante, fière de son patrimoine et tournée vers l’avenir. Une opportunité de rassembler les strasbourgeois autour d’une fête populaire et d’un moment de fierté collective, dans un contexte où ces moments de fête et d’union sont précieux. Ce sont aussi des retombées économiques importantes pour nos commerçants et entreprises. 

Cette absence de 20 ans interroge sur la place que Strasbourg occupe aujourd’hui dans le rayonnement sportif national et international, alors que la course traverse pourtant régulièrement par l’Alsace au cours des dernières années mais sans passer par Strasbourg. Il est temps de retrouver une municipalité qui a à cœur de défendre Strasbourg, de la promouvoir, de la faire vibrer, de la faire rayonner. De la repositionner à sa juste place de capitale et grande métropole européenne.

Repenser Strasbourg en grand c’est aussi remettre notre ville au cœur des grands événements qui comptent. Une ville comme Strasbourg ne doit pas se contenter de subir les choix et de voir passer les opportunités. Elle doit provoquer les occasions d’attractivité.

Strasbourg a tous les atouts pour accueillir à nouveau le Tour : un cadre unique, des infrastructures adaptées, une tradition d’accueil des grands événements. Sous le prochain mandat, nous nous engageons à ce que le Tour de France repasse par Strasbourg et réapparaisse sur les cartes de France du rayonnement et de l’enthousiasme populaire car c’est aussi cela penser Strasbourg en grand !

👇 Visionnez ma vidéo en cliquant ci-dessous 👇

Briser le silence pour tous ceux qui ne le peuvent pas

Je prends aujourd’hui la parole, non pas seulement pour moi, mais pour toutes celles et ceux qui, à Strasbourg, n’osent plus le faire.

Je parle pour les Strasbourgeoises et les Strasbourgeois que la peur réduit au silence : peur du regard, peur de la moquerie, peur de l’insulte, parfois même peur de la violence.

Je parle pour celles et ceux qui, chaque jour, subissent les humiliations sourdes de la haine : dans la rue, sur les réseaux sociaux, dans leur école, leur immeuble, ou, plus douloureusement encore, au sein de leur propre famille.

Quand l’antisémitisme et l’homophobie se déchaînent, ce n’est pas seulement une personne qu’on blesse : c’est le lien qui nous unit tous comme citoyens qu’on déchire.

Ce que je ressens n’est rien d’autre que ce que ressentent tant d’autres, qu’ils soient juifs, musulmans, chrétiens, athées, gays, lesbiennes ou simplement différents. La blessure est la même : celle d’être désigné, rejeté, déshumanisé.

Je refuse de m’y habituer.

Je refuse que la haine devienne un bruit de fond que l’on finit par ne plus entendre.

Je refuse que le courage soit remplacé par le silence.

Je parle aujourd’hui pour dire que Strasbourg vaut mieux que cela. Que le débat démocratique et politique mérite mieux.

À ceux qui insultent, je n’opposerai ni la colère ni le mépris, mais la persévérance. Je refuse qu’en voyant de tels commentaires des jeunes renoncent à s’assumer ou s’engager.

Je continuerai à parler, à agir, à croire que la parole publique, même blessée, peut encore guérir.

Je prends la parole pour tous ceux qui ne le peuvent pas. Je mets ma voix au service de cette lutte et de l’éducation contre la haine.

👇 Cliquez ci-dessous pour retrouver ma prise de position sur StrasTV 👇

Tram nord : un débat faussé, une vision à reconstruire

Ce jeudi 9 octobre, la convention citoyenne sur le Tram Nord a rendu ses conclusions. Avec Thibaud Phillipps, maire d’Illkirch-Graffenstaden, nous avons tenu une conférence de presse pour réagir à cette restitution. Je tiens d’abord à remercier les citoyens qui se sont investis dans cette démarche, souvent dans un cadre contraint et avec une méthode discutable. Nous avons, depuis le début du mandat, porté une vision d’ensemble des mobilités dans l’Eurométropole : efficace, intermodale et pensée à l’échelle du territoire.

Malheureusement, cette convention n’aura été qu’une opération de communication coûteuse, lancée dans un objectif électoral. 500 000 euros ont été dépensés pour ajouter 100 avis aux 7 000 contributions déjà été exprimées lors de l’enquête publique. Ce temps aurait pu être consacré à la construction d’un nouveau projet au lieu d’entretenir la confusion autour d’un projet de Tram mort-né.

Cependant, la convention citoyenne elle-même valide nos remarques : la nécessité de préserver la place de la voiture pour certains usages, l’importance d’une approche incitative plutôt que punitive, l’exigence d’un budget maîtrisé, la nécessité d’un tram qui soit le plus efficace, cadencé et avec la meilleure desserte possible.

Je me réjouis que ces conclusions rejoignent nos analyses et le projet de tracé que j’ai proposé. En particulier concernant le passage par les quais et le tracé par la rue Sébastopol qui est identifié comme le plus efficace et le mieux intégré selon les études et les conclusions. Je dénonce fermement sa mise à l’écart par l’Eurométropole pour des faux motifs de coûts ou travaux supposés. Nous proposons au contraire une solution réaliste : repositionner la gare routière en arrière-gare, et inscrire le projet dans une vision cohérente avec la transformation du site Heineken et le développement de la gare basse.

Le Tram Nord doit être repensé dans une logique d’avenir, à l’échelle du territoire. Ce projet structurant ne peut pas être traité par morceaux ni soumis aux aléas électoraux. Nous continuerons à défendre une approche globale, pragmatique et ambitieuse pour les mobilités. Une vision qui place l’efficacité et la cohérence au service des habitants.

👇Retrouvez l’article des DNA suite à notre conférence de presse👇

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